Hommage à Josée B et Mère Indigne
C'est à cause d'elle si je blogue. Évidemment c'est une blonde. Évidemment je tombe là dessus par hasard. Évidemment étant blonde, je viens tout juste de découvrir la planète blogue.
Qu'est-ce qu'une blonde trouve très très long et très très dur? Sa maternelle, je la connais, je vous l'ai dit, je les connais toutes.
Josée B. je la lisais déjà depuis sa plus tendre enfance dans le Devoir. J'ai en mémoire une chronique sur le strip tease fait à chum anglais que j'ai longtemps gardé sur ma porte de frigo (admirez le contraste du chaud et du froid).
C'était bien avant Sex and the City et la mode (interminable, envahie de wannabees) des filles qui racontent leur vie sexuelle à tous vents.
C'est peut-être juste moi... Me semble que si t'as pas le sparkle d'humanité qu'il faut, c'est comme lire le récit d'une virée chez Costco.
Ce qui n'a jamais été le cas de Josée B. On était plutôt dans la dégustation épicurienne, la rencontre, l'oeil qui trouve l'âme et qui a envie de partager. My kind of writer. Bref, Josée B. parle de Mère Indigne. Je vais voir. Enfer et damnation, le fond et la forme réunis. Impertinence à gogo. On peut être mère sans être mièvre. What a relief.
Je n'en reviens pas. On peut s'amuser autant en écrivant juste pour le plaisir de se faire plaisir? En n'obéissant à personne sauf à ses envies? Pas de rapport de lecture? Pas de comités? Pas de directeur de contenu? Pas de pauses publicitaires? Pas d'interminables réunions sur la signification de la scène 17?
Je rêve. Do not disturb, pliiiiize.
Donc, je vais la lire tantôt, je vois qu'elle a un nouveau vice. Miam. Je clique.
Ben là!!! (réaction stupéfaite de la protagoniste puis sourire niaiseux).
J'ai eu un nombre inoui de commentaires sur mes textes. De tout acabit. Jamais je n'avais été un vice, enfin si mais pas comme ça. Yeeeesssss! Victoire! Champagne!
"Allô Maman? Tu peux enfin être fière de ta fille, je suis un vice".
Comme disait Mae West, qui était aussi scénariste; "When I'm good, I'm good. But Honey, when I'm bad, I'm better".
Je vais essayer très très fort de rester mauvaise.
Merci les filles. Oh et puis, merci les garçons aussi.
Qu'est-ce qu'une blonde trouve très très long et très très dur? Sa maternelle, je la connais, je vous l'ai dit, je les connais toutes.
Josée B. je la lisais déjà depuis sa plus tendre enfance dans le Devoir. J'ai en mémoire une chronique sur le strip tease fait à chum anglais que j'ai longtemps gardé sur ma porte de frigo (admirez le contraste du chaud et du froid).
C'était bien avant Sex and the City et la mode (interminable, envahie de wannabees) des filles qui racontent leur vie sexuelle à tous vents.
C'est peut-être juste moi... Me semble que si t'as pas le sparkle d'humanité qu'il faut, c'est comme lire le récit d'une virée chez Costco.
Ce qui n'a jamais été le cas de Josée B. On était plutôt dans la dégustation épicurienne, la rencontre, l'oeil qui trouve l'âme et qui a envie de partager. My kind of writer. Bref, Josée B. parle de Mère Indigne. Je vais voir. Enfer et damnation, le fond et la forme réunis. Impertinence à gogo. On peut être mère sans être mièvre. What a relief.
Je n'en reviens pas. On peut s'amuser autant en écrivant juste pour le plaisir de se faire plaisir? En n'obéissant à personne sauf à ses envies? Pas de rapport de lecture? Pas de comités? Pas de directeur de contenu? Pas de pauses publicitaires? Pas d'interminables réunions sur la signification de la scène 17?
Je rêve. Do not disturb, pliiiiize.
Donc, je vais la lire tantôt, je vois qu'elle a un nouveau vice. Miam. Je clique.
Ben là!!! (réaction stupéfaite de la protagoniste puis sourire niaiseux).
J'ai eu un nombre inoui de commentaires sur mes textes. De tout acabit. Jamais je n'avais été un vice, enfin si mais pas comme ça. Yeeeesssss! Victoire! Champagne!
"Allô Maman? Tu peux enfin être fière de ta fille, je suis un vice".
Comme disait Mae West, qui était aussi scénariste; "When I'm good, I'm good. But Honey, when I'm bad, I'm better".
Je vais essayer très très fort de rester mauvaise.
Merci les filles. Oh et puis, merci les garçons aussi.
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