Les conditions gagnantes
Vous ne pensiez toujours pas que j'allais vous parler de référendum(sss)? Faut pas rêver!
Comme disait mon fils quand je lui demandais comment avait été sa journée d'école; "m'man, déjà que je suis obligé d'y aller, s'il faut que j'en parle en plus"...
Non, les conditions gagnantes pour bien travailler, faire une belle journée productive dont je serai fière et qui m'obtiendra le droit bien mérité de me saouler avec un petit australien bien frais en lisant le dernier Connelly. Le souper? Quel souper? Comment ça vous avez faim?!
Donc, 1) une vraie nuit de sommeil. Un réveil progressif, pas trop de monde dans mon champ de vision. La visite on les aime bien quand ils arrivent, on les aime encore plus quand ils s'en vont. Surtout ceux qui pensent que je fais pas une vraie job parce que mon bureau est à la maison. Même moi il m'arrive de penser que je ne fais pas une vraie job. Imaginez les autres.
Idéalement, commencer à travailler sans avoir eu de conversation, sauf avec les chiens et Candy qui veut son lait.
2)Du café. Du Mibirizi, c'est mon nouveau chéri africain (en exclusivité dans les IGA de madame chose, là, son nom m'échappe ou chez Café Union sur Jean Talon mais ils le coupent, sacrilège, faut le demander pur). Il est fort sans amertume, doux sans être moumoune, exquis, raffiné, juste assez dosé en excitant pour donner envie de faire l'amour. Pardon, je m'égare.
3) Ensuite du Valrhona. Si quelqu'un de chez Valrhona me lit, voulez-vous me commanditer?
Je vous mettrais au générique. "Cette série a été écrite sous l'influence du chocolat Valhrona".
Si Poulain ou Côte d'Or (au lait, noisettes) me lit, ça peut aller aussi. Le chocolat a fait de moi une fille facile. Les hommes aussi. Pardon, je m'égare encore.
4) Pas de téléphone. Répondeur. Sonnerie à off. Qui, au milieu d'une scène oedipienne, veut parler à sa mère? Personne.
5) Le tas de factures bien en vue. Il s'est écrit beaucoup de choses sur l'inspiration, des trucs mystico-poétiques et tout et tout. Je vous le dis, rien ne vaut le tas de factures.
Voilà, j'ai tout. Je peux y aller.
Comme disait mon fils quand je lui demandais comment avait été sa journée d'école; "m'man, déjà que je suis obligé d'y aller, s'il faut que j'en parle en plus"...
Non, les conditions gagnantes pour bien travailler, faire une belle journée productive dont je serai fière et qui m'obtiendra le droit bien mérité de me saouler avec un petit australien bien frais en lisant le dernier Connelly. Le souper? Quel souper? Comment ça vous avez faim?!
Donc, 1) une vraie nuit de sommeil. Un réveil progressif, pas trop de monde dans mon champ de vision. La visite on les aime bien quand ils arrivent, on les aime encore plus quand ils s'en vont. Surtout ceux qui pensent que je fais pas une vraie job parce que mon bureau est à la maison. Même moi il m'arrive de penser que je ne fais pas une vraie job. Imaginez les autres.
Idéalement, commencer à travailler sans avoir eu de conversation, sauf avec les chiens et Candy qui veut son lait.
2)Du café. Du Mibirizi, c'est mon nouveau chéri africain (en exclusivité dans les IGA de madame chose, là, son nom m'échappe ou chez Café Union sur Jean Talon mais ils le coupent, sacrilège, faut le demander pur). Il est fort sans amertume, doux sans être moumoune, exquis, raffiné, juste assez dosé en excitant pour donner envie de faire l'amour. Pardon, je m'égare.
3) Ensuite du Valrhona. Si quelqu'un de chez Valrhona me lit, voulez-vous me commanditer?
Je vous mettrais au générique. "Cette série a été écrite sous l'influence du chocolat Valhrona".
Si Poulain ou Côte d'Or (au lait, noisettes) me lit, ça peut aller aussi. Le chocolat a fait de moi une fille facile. Les hommes aussi. Pardon, je m'égare encore.
4) Pas de téléphone. Répondeur. Sonnerie à off. Qui, au milieu d'une scène oedipienne, veut parler à sa mère? Personne.
5) Le tas de factures bien en vue. Il s'est écrit beaucoup de choses sur l'inspiration, des trucs mystico-poétiques et tout et tout. Je vous le dis, rien ne vaut le tas de factures.
Voilà, j'ai tout. Je peux y aller.
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